Eternité
Soleil et herbes bien blanches
S’offrent à l’hiver fléchissant
Tes mains pèsent sur mes hanches
Encore un peu frémissantes
Par la fenêtre entr'ouverte
Nous vibrons au même chant neuf
D’un monde en nous encore si vert
Qu’on pourrait croire au coup de bluff
Si ce n’est cette sérénité
D’un temps dépourvu d’emprise
De jours dénués d’éternité
De secondes qui, là, s’enlisent
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