Christine
En plein pays de Caux
Perdue à Yvetot
J’ai cette amie
Les yeux emplis de bleu gris
Matin de tristesse
L’annonce m’agresse
Ton mari en furie
D’un fusil s’est saisi
J’ai appris ton décès
D’un appel discret
Et tes enfants aussi
Y ont laissé leur vie
J’ignore ta tombe
De joie tu inondes
De ton rire évadé
Mes ciels éclairés
Je rejoints ta ronde
Dans ton nouveau monde
Et nous dansons encore
Dans les mêmes décors
Une bougie j’allume
Toi tu la parfumes
Et de ton doux regard
Tu noies mes brouillards
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