poèsie en liberté

De blessures en fractures fuyant l'amertume
Un beau jour le soleil réjouit les séjours
Quand enfin on assume tous les mauvais costumes
Portés jour après jour et devenus trop lourds

Refusant de quêter un sourire futur
Quand plus d'autre que ce que l'on a fait nôtre
Ne sert lors à nourrir notre propre nature
D'une vie qui ne sera plus jamais une autre

Que celle qui continue de naître malgré tout
D'un coeur sans débat qui enfin bat bien plus bas
Sans gourou, sans dégoût, mais plein du nouveau goût

D'un compte à rebours qu'on parfumerait de velours
Pour clore ce passage-là sans plus trop de frimas
Et chanter sans fracas rien que des notes de La